voiturette

 peugeot 403

En décembre 1968, le cinéaste François Truffaut tourne la «　Sirène du Mississippi «　sur l’Île de la Réunion avec l’appui de Michel Debré, ancien Premier Ministre de la République Française,  pour représenter l'Île et ses cartes postales .

C’est avec Jean Paul Belmondo et Catherine Deneuve , adapté du livre de William Irish (Waltz Into Darkness ); le réalisateur collabore avec des personnalités locales comme Antoine Minatchy 2ème assistance de Truffaut , Albert Ramassamy ancien Sénateur de la Réunion pour représenter le rôle du curé et de nombreux Réunionnais se sont retrouvés associer au tournage du film .

La découverte , dans un garage de St Denis du cabriolet Peugeot 403 ayant servi au tournage donne le coup d’envoi au projet .

Belmondo et sa femme séjournèrent à St Gilles dans la résidence de Pierre Lagourgue (Président du Conseil Général ... de l'époque )

La Sirène de Mississippi fut un grand évènement pour la Réunion et les Réunionnais eux-même de voir une Grand Star du cinéma Français comme Belmondo à la Réunion.

Quatre décennies plus tard , nous revivons cet évènement sans précèdent sur l’Île en compagnie de Paul Belmondo au volant de la 403 que conduisait son père dans le film .

Le mythe s’est propagé un peu partout dans le monde où la Réunion est mise en valeur grâce au cinéaste François Truffaut et à Michel Debré.

Début du XIX siécle . L'introduction du Moustique à la Réunion marque la fin d'une Île à la réputation "saine" En quelques  années , la maladie prend un caractère endémique sur toute le littorale . Un bilan éffectué en 1899 comptabilise 1761 victimes . La même année , la peste importée de Île Maurice fait ses premiers morts à la Réunion .

En 1901 , le paludisme est responsable de 24,3% des décés à St-Denis .Les plus aisés tentent de se réfugier dans les hauts pour échapper au parasite mais une propagation est déja raportée jusquà 1 100m d'altitude tout le pays est gagné au début du ciécle .De la fièvre à la mort en passant par un grossissement de la rate , la description des syntôpmes fait froid lour dans le dos.

En 1914 , un service de prophylaxis et de désinfection est crée . Destruction des moustiques dans les habitations et dans les espaces publics , mais par l'éffet combiné de la misère - autrement dit , la malnutrition et de la maladie , ne peut endiguer l'hécatombe .

En 1926 , le Dr. Arlo , chef du service santé , lance une campagne d'imformation , affiches couvrant les murs , sensibilisation de la population aux moeurs de l'anophèle et aux manières de se prémunir de leurs piqûre . L'éffet sur lépidémie est immédiat mais on ne parvient pas encore à se débarrasser du parasite . Les taux de mortalité chute à 30 pour 1000 . Avant la guerre , les services de santé font quelques éssais de destruction de moustiques en versant du pétrole dans les mares . Ce qui n'empêche pas la femelle moutique de pondre ailleurs .

Début 1947 , le D.D.T (dichloro diphényl - trichloréthane ) fait son apparition à la Réunion . On retrouve même dans la presse des publicités pour cet insecticide , commercialisé sous le non de Néocide .

En novembre  , le préfét PAUL DEMANGE annonce enfin une vaste campagne de lutte contre le paludisme . Et d'emportantes commandes de poudres D.D.T . Mais ce n'est qu'à partire de 1949 que les campagnes de lutte intensive seront réelement mises en oeuvre sur toute la zone littorale et les premières pentes de l'Île . El les reposent sur trois modes d'action : lutte contre les moustiques adultes par pulvérisations de D.D.T dans les habitations pendant la saison des pluis , une lutte contre les larves menée à l'aide de D.D.T mélangé à du pétrole qui porte le non de ( NEOCIDE SPRAYER ) en zone urbaine , dans les ravines et rivières .

Entre 1950 et 1951 200 000 litres de D.D.T  SPRAYER sont déversés dans des maisons situées sur le littoral . Des résultats tres spéctaculaires sont obtenus des 1953 . La lutte antilarvaire sera renforcée au détriment des pulvérisations de D.D.T qui seront progréssivement abandonnées .

Le 20 mars 1979 , le comité d'experts de l'organisation mondiale de la santé (OMS) décernera le label d'éradication du paludisme à la Réunion .

Même si son uttilisation est aujourd'hui contestée , c'est bien gràce au D.D.T que la Réunion a pu se débarrasser du paludisme .

PS : Il n'est pas exclu qu'une  endémie paludisme refasse surface à la Réunion , notamment parce que le moustique vecteur , l'anophèle est largement présent dans l'Île .

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Pendant des décénies, le magain COLBE fut le Temple dionisien de la photographie.

C'était l'un des premiers commerces de la marque KODAK que l'on voyait lorsqu'on a opté pour le centre ville du chef lieu, (St Denis) en arrivant de l'ouest .

Le magasin COLBE véritable panthéon de la photographie, pendant plus d'un quart de siècle . Car Jean COLBE demeure l'un des meilleurs photographes de la Réunion.

Car ce commerce symbolise le développement de St Denis de l'après départementalisation , c'est l'époque   où la péllicule connait un franc succès ; c'est l'époque où Jean COLBE et son laborantin développent et tirent les clichés de mariage,de communions etc... dans la chambre noire du magasin, tandis que son épouse est derrière le comptoir.

Le magasin COLBE ne doit pas sa célébrité qu'à la compétence et au talent de ce lui qui lui donne son nom .

Cette célébrité dépasse d'ailleurs largement les frontières de l'Ile .

Le magasin COLBE est passé à la postérité , dans le film de François Truffaut , (la sirène du mississipi) .

En 1969 , avec Jean Paul Belmondo avait fait du Studio photo de COLBE la loge où il se changeait régulièrement ,  suait à grosses gouttes sous le soleil réunionnais.

L'argentique connaît une seconde jeunesse avec l'arrivée de la couleur. Les tirages sont alors automatisés .

A la fin des années 80 , l'image fixe est attaquée par la vidéo qui bouge .

Et les perspectives du numérique et d'une vulgarisation de la prise de vue sonnent le glas de l'argentique .

Jean COLBE qui aspire à la retraite envisage de vendre .

Le magasin COLBE change d'enseigne Café Paris _ Carrot D'or _ le Tire Bouchon et la Boucherie .

Car les fourchettes ont surplanté les pellicules , le révélateur s'est vidé des bacs pour laisser place nette à la sauce au poivre-vert .

BERLIERT GLB

C'était hier, ou on pouvait encore compter le nombre de véhicules qui circulait sur les routes réunionnaises.

Les déplacements se faisaient à pied ou en transports encommun, car peu de gens ne pouvaient s'offrir un moyen de locomotion. La plupart des routes n'était pas bitumé.

Lorsqu'un feu était déclenché, les habitants l'éteignaient avec les moyens du bord.

Le Service Départemental d'Incendie Réunion n'avait pas de grands moyens , avec une ou deux voitures, qu'est ce qu'il pouvait faire ?

Ces hommes étaient trés appréciés car dévoués,  mais personne ne se faisait d'illusions sur leurs capacités à éteindre des feux. Ils faisaient leur plein d'eau dans les bassins, le temps qu'ils arrivaient, il n'y avait plus rien à éteindre .

L'Age d'or du cheminde fer...de la Réunion

Le chemin de fer Réunionnais a été inauguré officiellement en février 1882 . Aprés plusieurs années d'un immense chantier qui verra le percement de tunnels, la construction de viaducs et l'édification d'une ville nouvelle sur un site quasiment désert.

Mais l'âge d'or du chemin de fer sera de courte durée. Dès 1911 , la route concurrence le rail. Le Ti-train tente bien de se moderniser en lançant les autorails à partir de 1940 jusqu'en 1976 ou le dernier autorail qui circulait encore à la Réunion. Se gare définitivement dans un tunnel à la Grande Chaloupe. Des bâtiments, des gares principalement , ont été rasés parce qu'ils ne trouvaient plus leur place dans des cités Réuninnaises en pleine expansion. Plus que partout ailleurs , à la Réunion , le vilage de la Grande Chaloupe se souvient du passé ferroviaire .

Aujourd'hui , elle conserve un aspect de celui d'Antan.

La " vieille dame "  qui a pris sa retraite aprés de bons et loyaux services au sein de la population Réunionnaise , aimerait bien siffer à nouveau sous le regard des collectionneurs.

CITROEN C15

                       Commune de l'Entre-Deux

L'Etre-Deux, petite commune du Sud de l'Ile .

En effet, avant 1882, l'écart de l'Endre-Deux, représenté par son dernier adjoint spécial, Corneille HOARAU, dépendait de la Ville de Saint-Pierre.

Et, c'est le 31 mars 1882 que l'Entre-Deux était érigée en véritable Commune après un acte de création signé à l'époque le 24 février par le Président de la République Jules GREVY.

En 2007, la Municipalité de l'Entre-Deux dirigée par Monsieur le Maire Bachil VALY et ses conseillers désident de fêter dignement le 125ème anniversaire de cette petite commune.

Et cette maquette a été sculptée à cette occasion et signée par Monsieur le Maire Bachil VALY.

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SIMCA 1200s

Les épreuves automobiles sur le sol réunionnais remente aux années 57-58. Les premières voitures de course, qui confrontent une vingtaine d'engagés, sont des Simca Aronde, R-8 Major et Dauphine ect.

La première compétition officielle remonte à 1961, organisée par la section Rallye de l'automobile Club de la Réunion; dirigé e par Jean JOLY et Gilbert Le Terrier.

En 1963, c'est la création de l'ASSAR ( Association Sportive Automobile de la Réunion).

En 1968, l' ASSA Sud naît et organise sa première course en 1969, la course des Hortensias.

Le tour de la Réunion, donc la première édition se déroule en 1969, remporté par Maurice PAYET sur Simca 1200s. Champion de père en fils, les PAYET ont marqué de leur gomme dans l'histoire du rallye réunionnais. Le fiston, lui a fait deux doublés d'affilée, 1998, 1999 ? ....

Après ces années 70, les rallyes auto prenaient une autre dimension, et devient un rendez-vous annuel. Les premiers métropolitains y font leur apparition. Ces derniers initient les réunionnais d'ailleurs aux courses de vitesse pures.On parle de championnat : cette formule est régulièrement offerte aux concurrents à partir de 1980. Citroën et Peugeot font leur entrée dans le bal.Le sponsoring devient une arme incontournable.

En 1985 naît le Comité Régional du Sport Automobile de la Réunion, dont la présidence est asssurée par Michel POPINEAU.

Renault 4 (1968) 

Cette maquette a été sculptée pour le 80ème anniversaire de la Commune du Tampon. Un anniversaire symbolique pour notre commune qui s'est séparée officiellement de Saint-Pierre le 21 mars 1925 pour devenir la vingt- deuxième commune de la Réunion.

Il devient officiellement une commune à part entière et après les élections générales du 3 mai 1925, Edgar AVRIL en devient le premier maire et la tenue du premier Conseil Municipal le 2 juillet suivant marquant la naissance politique de la Commune.

Le Tampon est devenu au fil des décennies, une commune moderne et dynamique. Il est aujourd'hui, la quatrième commune de l'île par le nombre d'habitants.

                                             Quelques faits marquants

En 1935 : Georges AVRIL est élu maire et succède à son frère aîné

1942 : Election d'Evenor LALLEMAND

1947 : Arrivée de l'électricité sur le Tampon

1953 : Election de Paul BADRE

1960 : Inauguration du sanatorium de Trois-Mares

1965 : Le Lycée Roland Garros ouvre ses portes

1977 : Le secteur du Grand Bassin qui faisait partie de la Commune de l'Entre-Deux est rattaché au Tampon.

1983 : André THIEN AH KOON est élu maire.

Le 2 juillet 2005, le Député Maire André THIEN AH KOON fête cet évènement en organisant diverses activités. Et, il posa sa signature et le cachet des 80 ans de la Commune sur cette maquette.

Vestige d'une autre époque le vieux "rouleau" à échèle 1/18 ème

A une époque pas si lointaine on n'allait pas pique-niquer chemin volcan, pour la bonne raison que la route n'existait pas. Pour accéder à ce site fabuleux les services des guides de l'ONF et de porteurs. Ce n'est qu'en 1957 que les traveaux d'ouverture de la route forestière commencent. La route a été faite à mains d'hommes autant dire qu'à coup de pioches et de masses jusqu'au Textor. En 1963, la route est une piste, et c'est à ce moment-là que le premier engin, ce vieux "rouleau" à vapeur, permet d'aplanir la route. Après une dure labeur l'engin s'éteint et resté sur place qui se dégrade de jour en jour sur cette route Touristique la plus fréquenté de la Réunion.

PEUGEOT DMAH 1945

Cette maquette a été sculptée pour le 30ème anniversaire du QUOTIDIEN (1976/2006) Le journal de la Réunion et de l'Océan Indien.

En 1976, la création du journal QUOTIDIEN constitua en elle-même une révolution, brisant un monopole solidement installé, adoptant une libération de tou jusqu'alors inconnue et donnant enfin la parole à ceux qui n'avaient aucun espace d'expression ni dans la presse écrite, ni sur les ondes. L'arrivée de ce troisième journal a fait un bien fou. Le quotidien fait partie de notre conscience collective, c'est un journal qui donne la parole aux diverses composantes de la société réunionnaise. Plus largement, j'ai envie de dire que le QUOTIDIEN est l'aventure d'un homme Monsieur Maximin Chan-Ki-Chune.